[Articles] Identifying and tackling inequality. A challenge for social work.

The value of equality is recognized as a core principle of social work. At an international level, the statement of ethical principles describes social work as a profession which “challenges injustices” and sees principles of “socialjustice”asfundamental. The idea that social work is about combating inequalities generally provokes content among policy administrators and social workers. As stated in T. H. Marshall’s (2009/1950) essay on citizenship and class, the development of citizenship in the modern capitalist state was driven by attempts to ground the “principle of the equality of citizens to set against the principle of the inequality of classes” (Marshall 2009, p. 149). For him, the guarantee of social rights included in citizenship is closely connected to the institutions of “education and the social services” (Marshall 2009, p. 148), thus to social work.

This issue raised considerable debate within the discipline of social work over the last thirty years (Brumlik/Keckeisen 1976; Autès 2004; Ferguson 2008; Stehr 2008; Kessl 2009; Lima 2011). Recently, the capability approach – initially developed by Amartya Sen in the context of human development studies – has become an influential frame of reference considered as a possible normative foundation for social work and social policy (Nadai 2013; Otto et al. 2010; Schrödter 2007). The orientation towards a broad conception of human freedom and individual autonomy – so the authors – would make the capability approach an ideal reference framework for social work.

Author(s): Benoît Beuret, Jean-Michel Bonvin, Stephan Dahmen

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[Articles] L’impensé du discours sur l’abus.

Nous proposons dans cet article de ne pas considérer l’abus comme un fait, mais, en référence aux travaux sociologiques classiques (par exemple Becker 1963), comme un jugement normatif porté sur un comportement. Plus précisément, il s’agit d’un jugement qui, sur la base de normes dominantes, rend une personne individuellement responsable de la situation qui lui arrive (d’accident, d’incapacité de travail, etc.). Cette attribution de responsabilité participe à masquer les déterminants sociaux qui ont conduit à cette situation.

Nous allons dans cet article d’une part identifier les normes que certain-e-s bénéficiaires sont accusé-e-s de transgresser et d’autre part montrer comment le discours sur l’abus contribue à les naturaliser et àocculter les rapports sociaux qui les fondent. Pour ce faire, nous partirons d’une étude du discours expert sur les trajectoires de salarié-e-s victimes d’accidents du travail potentiellement invalidants. Dans un premier temps, nous allons présenter notre matériau empirique. Dans un second temps, après avoir rappelé les raisons pour lesquelles la protection sociale contre les accidents du travail s’est développée, nous présenterons ce qui relève, selon le discours expert, d’une trajectoire «conforme» (autrement dit, sans soupçon d’abus) en cas de survenue d’accident, ce qui nous permettra decomprendre quelles sont les normes dominantes en matière d’accidents du travail. Nous réfléchirons enfin à la spécificité du propos sur les abus dans le cas des accidents professionnels en montrant sur quels impensés il repose.

Author(s): Jean-Pierre Tabin, Isabelle Probst

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[Articles] L’activation et ses abus de langage. Le cas de l’assurance-invalidité.

Depuis une quinzaine d’années, la Suisse est entrée dans un processus de réformes multiples des différentes branches qui composent son dispositif de protection sociale. Comme dans la plupart des pays membres de l’OCDE, la nouvelle approche de la politique sociale qui tend à s’instaurer s’articule autour des trois points suivants: a) l’activation des dépenses et des bénéficiaires de la protection sociale (Van Berkel et al. 2011); b) l’individualisation et la contractualisation des prestations sociales et des modes d’intervention sociale (Van Berkel et Valkenburg 2007); c) la territorialisation de la protection sociale (Finn 2000), c’est-à-dire un transfert de responsabilité dans la mise en œuvre des politiques sociales au niveau local et régional. Ces transformations induisent une nouvelle conception de la protection et de la citoyenneté sociales, accentuant la responsabilité individuelle des personnes plutôt que la responsabilité sociale de l’État (Gilbert 2004).

Dans cette contribution, nous nous proposons de questionner l’impact des débats sur l’abus dans le cadre des réformes de l’Ai. L’objectif est de voir comment la rhétorique de l’abus a intégré les arènes politiques suisses et de mieux saisir son rôle dans les transformations de l’AI et, plus généralement, dans la redéfinition de l’équilibre entre responsabilités sociale et individuelle. Pour cela, nous nous intéresserons d’une part au contexte d’émergence et au contenu des discours sur l’abus pour voir comment cet enjeu a été problématisé et inscrit à l’agenda politique. D’autre part, nous nous pencherons sur les conséquences de cette politique de lutte contre les abus en étudiant plus spécifiquement le cas de la 5e révision de la l’AI et ses incidences sur les droits et obligations des assurés. Ces analyses se fondent sur une étude documentaire des textes officiels (loi, règlements, etc.) et des débats parlementaires relatifs à l’AI (entre 1996 et 2012), ainsi que sur des entretiens semi-directifs (23) menés auprès de responsables et de professionnels de l’AI.

Author(s): Emilie Rosenstein

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[Articles] Missbrauch und Reform. Dimensionen und Funktionen der Missbrauchsdebatten in der schweizerischen Invalidenversicherung aus historischer Perspektive.

Wenn von Missbrauch im Kontext der Invalidenversicherung (IV) oder anderer Zweige des Systems sozialer Sicherung in der Schweiz gesprochen wird, dann verbindet man damit – beeinflusst durch die vorherrschenden politischen und medialen Diskurse – in erster Linie durch Klientinnen und Klienten rechtswidrig bezogene oder erschlichene Leistungen. Im Zentrum der Debatten steht dementsprechend der Versicherungsmissbrauch in einem rechtlichen Sinne. Breite mediale Rezeption und beachtliche Erfolge feierte eine im Umfeld der 5. Revision des Bundesgesetzes über die Invalidenversicherung (IVG) von Nationalrat Blocher 2003 losgetretene Diskussion zur «Scheininvalidität» (APS 2003, S. 229), die in eine parlamentarische Motion der Fraktion der Schweizerischen Volkspartei (SVP) mündete (Amtl. Bull. NR 2003.3 Beilagen, S. 595f.). Das aktuelle sozialstaatliche Paradigma der Aktivierung ist einem Diskurs, der auf die Verfehlungen der Betroffenen zielt, zuträglich: Einerseits wird auf die Eigenverantwortung der Klientinnen und Klienten abgestellt. Andererseits geht die Tendenz hin zu Leistungs- kürzungen sowie kontrollierenden und disziplinierenden Massnahmen.

Zunächst führt ein kurzer historischer Abriss zur Entstehung der IV zum Thema hin. Im darauffolgenden Abschnitt werden Missbrauchsdebatten, die noch vor der Einführung der IV geführt wurden, dargestellt. Die Missbrauchsdebatten nach der Implementierung der IV1960 werden in drei Phasen beleuchtet – 1960er und frühe 1970er Jahre, 1970er Jahre, zuletzt 1980er und 1990er Jahre-bevor in den Schlussfolgerungen die Resultate mit einem Blick auf die heutigen Verhältnisse zusammengefügt werden sollen.

Author(s): Alan Canonica

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[Articles] L’abus entre droit, morale et politique.

La notion d’abus se présente d’emblée comme une notion polysémique. Ce n’est manifestement pas en un même sens que l’on parle d’abus de biens sociaux pour désigner un certain type de délit bien défini par le droit, que l’on diagnostique un abus de drogue ou d’alcool, que l’on dénonce les abus aux prestations sociales en suspectant un détournement des finalités d’un dispositif institutionnel, ou encore, que l’on reproche à un ami d’abuser de l’hospitalité qu’on lui offre. Dans tous les cas, il s’agit certes d’un dépassement des limites, mais la nature des limites, de même que celle du dépassement, diffèrent du tout au tout. Dans le premier cas (abus de biens sociaux), qui relève de l’acception juridique de l’abus, la nature de la limite est expressément fixée par la loi et en des termes assez précis pour qu’il soit possible de déterminer sans équivoque si elle a été franchie ou pas. Dans le second cas (l’abus de boisson par exemple), qui relève d’une acception médicale, ce sont les conséquences physiologiques ou psychologiques du franchissement de lalimite qui permettent de conclure sans équivoque qu’il y a eu franchissement. Dans les deux derniers cas (prestations sociales et hospitalité), au contraire, la nature de la limite est tout aussi indécise que le franchissement de la limite est équivoque. L’abus se présente alors comme un dépassement ambigu des limites de l’usage légitime d’une règle sociale.

Pour analyser ce dernier type d’abus et les conflits auquel il donne lieu, je procéderai en quatre étapes. Dans un premier temps, je chercherai à caractériser le problème normatif spécifique qu’il pose. Dans un deuxième temps, je distinguerai différentes formes de critique des abus. Dans un troisième temps, j’analyserai le problème des abus au travail, en m’appuyant sur L’Echo de la Fabrique, le premier journal ouvrier en France et au monde, paru à Lyon entre 1831 et 1834. Enfin, je poserai la question du sens de la critique des abus à l’âge du néolibéralisme.

Author(s): Emmanuel Renault

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[Articles] Innovation in der Sozialen Arbeit. ein altbekanntes Phänomen und ein neues Forschungsgebiet

War Soziale Arbeit einstmals eine Innovation, so kann sie heute – mehr als 100 Jahre nach ihrer Etablierung – nicht mehr als solche gelten. Innovation im Sinne der Entwicklung von neuen Methoden, Konzepten sowie Handlungs- und Organisationsformen ist aber ein Aspekt, welcher der Profession immanent bleibt; denn die Ausrichtung der Sozialen Arbeit an den sich wandelnden sozialen Problemen impliziert wiederkehrend die Fragen, wie bereits bekannte oder neu identifizierte Handlungsprobleme im Spannungsfeld zwischen Individuum und Gesellschaft besser bearbeitet werden können und wie sich Wissen für die Praxis nutzen lässt. Obwohl seit einigen Jahren in der Praxis der Sozialen Arbeit zunehmend Projekte und Initiativen als innovativ bezeichnet werden, bleibt die kognitive, wissenschaftliche Basis dieses Attributs unklar. Mit Innovationen scheinen sich vage Hoffnungen auf Effizienzsteigerung zu verbinden.Um implizite Innovationsverständnisse zu rekonstruieren bzw. explizite Konzeptionen zu überprüfen und zu entwickeln, ist Innovationsforschung auch im Bereich der Sozialen Arbeit erforderlich. Aufgrund der spezifischen Strukturmerkmale Sozialer Arbeit (sozialstaatliche Verfasstheit, strukturelleKopplung an die Politik, fehlende «Kundensouveränität», Co-Produktion der Leistungen, limitierte Standardisierbarkeit usw.) kann nicht davon ausgegangen werden, dass vorliegende Innovationsstudien aus anderen Bereichen direkte Folgerungen für die Soziale Arbeit zulassen.

In diesem Beitrag wird beleuchtet, was Innovation als Forschungsgegenstand der Sozialen Arbeit ausmacht bzw. ausmachen könnte. Dazu wird die Innovationsthematik zunächst aus gesellschaftstheoretischer Perspektive problematisiert. Dann werden aus multidisziplinärer Perspektive Gegenstand und Methodologie der vorliegenden Innovationsforschung erörtert, bevor ein Zugang zur Innovationsforschung aus Perspektive der Sozialen Arbeit eröffnet wird. Anschliessend werden in knapper Form Ergebnisse der bisherigen Innovationsforschung dargestellt, insofern sie für die Soziale Arbeit hinlänglich relevant erscheinen. Überlegungen zur Bedeutung der (inter)disziplinären Perspektive für die Innovationsforschung sowie für die Soziale Arbeit beschliessen den Beitrag.

Author(s): Matthias Hüttemann, Anne Parpan-Blaser

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[Articles] Soziale Arbeit und vernetze Gewaltprävention. Diskussion anlässlich einer Zürcher Gemeindebefragung.

Die Ziele von Sozialer Arbeit weisen vielfältige Berührungspunkte mit denen der Kriminalprävention auf. Bei Berufsfeldern der Sozialen Arbeit im forensischen Bereich, wie Straf- und Massnahmenvollzug, Bewährungshilfe oder Jugendanwaltschaften, steht eine rückfallpräventive Orientierung im Sinne indizierter Prävention im Vordergrund. In Bereichen wie offene Jugendarbeit, Jugendhilfe oder Gemeinwesenarbeit zählt Kriminalprävention nicht zu den primären Aufgaben, gleichwohl können genuin-präventive Ziele verfolgt werden – universeller Natur zur Verhinderung delinquenten Verhaltens bei bislang unauffälligen Mitgliedern der Gemeinschaft oder selektiver Natur bei Risikogruppen. Gerade letztgenannte Felder der Sozialen Arbeit sind in vielen schweizerischen Gemeinden an vernetzten Präventionsaktivitäten beteiligt, deren Bedeutung jedoch kontrovers diskutiert wird. Fachleute schätzen auf der einen Seite die gegenseitige Bereicherung und Ergänzung durch eine ressortübergreifende Zusammenarbeit und Vernetzung, auf der anderen Seite werden widersprüchliche Rollen und Aufgaben kritisiert. Der vorliegende Artikel thematisiert die unterschiedlichen Betrachtungen zu diesem Arbeits- und Spannungsfeld auf der Basis einer von den Autoren durchgeführten Studie zu Bedarfslagen von Gewaltprävention bei Gemeindepräsidien und Fachleuten in Zürcher Gemeinden. Ausgehend von den Erkenntnissen dieser Erhebung ist es das Ziel dieses Beitrags, die spezifischen Herausforderungen der Sozialen Arbeit in kommunaler Kriminalprävention in einem schweizerischen Kontext zu diskutieren. Die Analyse der Problemwahrnehmung, der Bedarfslage und der Umsetzung von Präventionsprojekten dienen hierfür als empirische Basis. Abschliessend wird auf Möglichkeiten und Grenzen der vernetzten Gewaltprävention allgemein eingegangen.

Author(s): Patrik Manzoni, Samuel Keller

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[Articles] La réflexivité dans et sur l’action. Enjeux pour la professionnalisation des travailleurs sociaux.

La réflexivité est un thème qui s’inscrit dans le champ des théories de l’action, et de fait intéresse la philosophie, et dans des champs de recherche appartenant à différentes disciplines des sciences humaines. En questionnant les rapports entre pensée et action, entre conscience et action, ou encore entre pensée et langage, la réflexivité ou ce qu’on dénomme aussi la réflexion sur l’action se trouve au cœur de débats épistémologiques séculaires avec en toile de fond le rapport entre théorie et pratique. Nous souhaitons pointer quelques éléments que suscite notre réflexion sur le thème de la réflexivité dans l’action pour discuter ensuite ses enjeux pour la professionnalité des travailleurs sociaux.

Nous commencerons parmettre en évidencele récent intérêt porté, dans la littérature consacrée à la professionnalisation en travail social, aux conditions effectives du métier et à l’expertise déployée en situation. Un lien sera fait avec l’alternance comme dispositif privilégié de formation en travail social. Nous nous arrêterons ensuite sur le modèle du praticien réflexif de Schön afin d’examiner la modalité de la réflexivité dans et sur l’action valorisée dans la formation des travailleurs sociaux comme dansbien d’autres métiers de l’humain. Nous identifierons quelques-uns de sesenjeuxépistémologiquesentant qu’ils interrogent àleurtour les enjeuxde ce modèle pour la formation professionnelle. Nous aurons ainsi l’occasion de questionner l’usage du praticien réflexif initialement pensé comme modèle d’action et qui s’est généralisé comme modèle idéal de professionnalité en travail social avec l’essor de la logique de l’alternance.

Author(s): Sylvie Mezzena

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[Articles] Zwangskontext und “Zwangsbeglückung” in der gesetzlichen Sozialen Arbeit. Phänomen und rechtliche Aspekte.

Soziale Arbeit im Zwangskontext hat es historisch betrachtet schon immer gegeben (vgl. Hammerschmidt 2010, S. 849ff.). In den letzten Jahrzehnten vor der Jahrtausendwende hat sich Soziale Arbeit besonders dem Paradigma der Freiwilligkeit verschrieben. Dabei hat sie die Arbeit in einem Zwangskontext teilweise implizit als nicht im Kern sozialarbeiterisch abgetan und kaum beachtet. Ebenso wenig beschäftigt hat es sie weitgehend, dass diese Form Sozialer Arbeit in einem dialektischen Bezug zur sogenannten freiwilligen Arbeit steht. Diese Tendenzen sind durchaus auch heute noch erkennbar.

Die Thematisierung von Pflichtklientschaft im Strafvollzug und im Kindes- und Erwachsenenschutzbereich um die Jahrtausendwende im deutschsprachigen Raum hat dazu geführt, dass die Sensibilität gegenüber der Sozialen Arbeit im Zwangskontext zugenommen hat (Gumpinger 2001a; Kähler 2005). Hintergrund dieser erst späten (Wieder-)Entdeckung des Feldes dürfte mitunter die Skepsis gegenüber Juristen, die seit den Dreissigerjahren bis Ende der Fünfzigerjahre vielerorts in den Ausbildungen für Soziale Arbeit und an Führungsstellen im Sozialbereich tätig waren (Kruse 2007, S. 188ff.; Burkhardt Modena 1988, S. 105), und damit implizit gegenüber den Rechtswissenschaften sein.

Author(s): Daniel Rosch

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[Articles] Irritationen der Vielfalt. Fachliche Implikationen einer transkulturellen Öffnung der Verwaltung.

Innerhalb von Europa weist die Schweiz einen der höchsten Ausländeranteile an der Gesamtbevölkerung auf. Migrantinnen und Migranten haben sich in der Schweiz nicht nur niedergelassen, sondern in der zweiten und dritten Generation Wurzeln geschlagen.1 Die Einwanderungsrealität ist in dieser Hinsicht mit jener klassischer Einwanderungsländer wie Australien, Kanada oder den USA vergleichbar (Piguet 2006, S. 122). Nebst der demografischen Relevanz dürfte auch die sukzessiv verbesserte Rechtsstellung der längerfristig anwesenden Ausländerinnen und Ausländer dazu geführt haben (Schweizerischer Bundesrat 2010), dass die offizielle Schweiz sich heute als «ein Land der Vielfalt» präsentiert (EKA 2005a, S. 3). Mittlerweile werden Ausländerinnen und Ausländer als «wertvolle[r] Bestandteil der Gesellschaft» (TAK 2009, S. 10) wahrgenommen, als «selbstverständliche Teilhabende», gar «Mitbürgerinnen und Mitbürger» einer «vielfältigen Bevölkerung in Städten und Gemeinden» (EKA 2005a, S. 3). Sie bringen ihre persönliche Lebensauffassung mit, verfügen über unterschiedliche Erfahrungen und spezifische Kompetenzen. Der Staat anerkennt diese Vielfalt als wirtschaftliches, kulturelles und soziales Potenzial (Schweizerischer Bundesrat 2010, S. 13). Es erstaunt deshalb kaum, dass Vielfalt heute als ein wesentliches Element jeder freiheitlichen Ordnung hochgehalten wird, «welches zu schützen ist» (Schweizerischer Bundesrat 2002, S. 3797).

In diesem Sinne sind Bund, Kantone und Gemeinden gefordert, «günstige Rahmenbedingungen für die Chancengleichheit und die Teilhabe der ausländischen Bevölkerung am öffentlichen Leben» zu schaffen (Art. 53 Abs. 2 AuG).

Author(s): Esteban Piñeiro

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